Attention, spoilers !

La plupart des critiques et des développements proposés dévoileront des indices et des informations qui pourraient fausser l'effêt de surprise et révèler les dessous et les résolutions des oeuvres citées ...

A bon entendeur ...


Que cela ne vous empêche pas de me visiter, de me lire et de me laisser vos remarques.

lundi 20 août 2012

Remember Dario Argento 6 : Inferno

Si vous avez raté les épisodes précédents ( le lien : Inferno)

Inferno, c'est


Un livre ésotérique et fascinant que chacun cherche à lire ou à posséder





































Un immeuble new-yorkais, labyrinthique et maléfique


































Des clés malencontreusement perdues et des secrets enfouis au fond des caves
























































Des lettres énigmatiques qui passent de mains en mains
































Des animaux : chats, rats, fourmis ...





























































 


 




Des silhouettes menaçantes, des mains gantées ou griffues, le danger en permanence ...












































Des personnages évidemment louches : un antiquaire, un vieux professeur, un majordome, une voisine,  une concierge ou une infirmière
























 






























Des couloirs, des passages secrets, des escaliers ténébreux ... intérieurs ou extérieurs beaux, inquiétants et jamais sécure !









































































































 
























Sang, traces, blessures, viande ... meurtres éblouissants









 














 




























 


































































Et pour finir encore des sorcières, des maléfices, la résolution nébuleuse des énigmes et la Mort dans toute sa dimension finalement grotesque









































































Suite (?) de Suspiria et second volet de la trilogie des Trois Mères, Inferno se déroule comme un vénéneux et funèbre cauchemar ; beaucoup plus abstrait et déroutant que son splendide et rutilant "frangin" (Suspiria, donc) il s'avère également plus jusqu'auboutiste. La lenteur hypnotique, la multiplicité d'énigmes et la gravité morbide du métrage peuvent désarçonner et déplaire. Pour moi, l'un des meilleurs et des plus beaux films du réalisateur, celui dans lequel il a le mieux, le plus justement, exprimé ses obsessions et son talent. 







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