Attention, spoilers !

La plupart des critiques et des développements proposés dévoileront des indices et des informations qui pourraient fausser l'effêt de surprise et révèler les dessous et les résolutions des oeuvres citées ...

A bon entendeur ...


Que cela ne vous empêche pas de me visiter, de me lire et de me laisser vos remarques.

dimanche 26 août 2012

Remember Dario Argento 7 : Mother of tears / La Troisième Mère

Si vous avez raté les épisodes précédents (le lien : Mother of tears)

Mother of tears c'est


Une héroïne Sara Mandy (alias Asia Argento) propulsée dans une intrigue aussi ténébreuse et foutraque que jubilatoire !

















































Des sorcières hystériques au look de punkettes 


























































Des curés et des vieillards































Des mères






























La belle (et vaine ?) Mater Lacrimarum










































Des souterrains, des demeures maléfiques et des passages secrets































































 




















Une tunique et un poudrier magiques





























Des livres toujours ; le livre des Trois Mères







































Des statues










































Monstres, démons et serviteurs dévoués de la Mère des larmes

































Son singe horripilant






























Courses, fuites, poursuites ...






























Des enfants sacrifiés


















Du sang qui gicle







































































































Des ectoplasmes et des possédés







































Un certain Oscar de la Vallée



















Des tortures et des sévices










































Des frissons mais du réconfort








































Et la fin de la présomptueuse Mère des larmes

































 


Réalisé près de 25 ans plus tard que les deux autres segments de la trilogie dite des Trois Mères, cet opus surprend par son contrepied et son côté outré, décomplexé et jusqu'auboutiste .... rien à voir avec les flamboyances et l'onirisme macabre de Suspiria et Inferno : ici Argento solde un contentieux sur un mode aussi méchamment brut et trivial que finalement réussi.
Surprenante, trépidante, gore et joyeusement bricolée, cette conclusion s'affirme comme un bel hommage au cinéma-bis et comme un interessant constat de l'évolution du cinéaste ... Une bobine qui gagne l'engouement et la compréhension à chaque nouveau visionnage (y compris pour l'argentophile nostalgique !)

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