Attention, spoilers !

La plupart des critiques et des développements proposés dévoileront des indices et des informations qui pourraient fausser l'effêt de surprise et révèler les dessous et les résolutions des oeuvres citées ...

A bon entendeur ...


Que cela ne vous empêche pas de me visiter, de me lire et de me laisser vos remarques.

lundi 15 octobre 2012

Remember Dario Argento 11 : Le Chat noir

Si vous avez raté les épisodes précédents (le lien : Le Chat noir)

La Chat noir, c'est, comme son titre l'indique, une adaptation du conte cruel d'Edgar Alan Poe et le second segment d'un film à sketches qui est dédié à l'auteur américain ; il met en scène

Un photographe fasciné par la mort, un peu trop porté sur la bouteille

































































sa femme












































un chat noir , catalyseur de toutes les crises et les horreurs en latence




































































une atmosphère de cauchemar où rêves comme réalité sont perpétuellement oppressants
















































































































l'inexorable escalade de la violence





































































meurtre, cachoteries et stratagèmes













































































réapparitions du chat, découvertes macabres et chatiment !




































































 Malgré la double contrainte de la commande et de la durée (un film basé sur les nouvelles de Poe et un segment limité à environ une heure), Argento choisit d'adapter l'un des récits les plus connus ... et s'en tire finalement haut la main . Le cinéaste a toujours clamé son attachement à l'écrivain fantastique : ce projet ne pouvait que lui plaire ! Modernisant et adaptant assez justement le propos du conte, il en profite pour exacerber la noirceur et la morbidité initiale, secondé par la prestation charismatique et animale de son anti-héro : en gros, Harvey Keitel fait du Keitel pur jus et Dario Argento de l'Argento (avec force mouvements de caméra et détails macabres ...) ... pour notre plus grand plaisir.
Le film souffrira quand même de son "handicap" de film à sketches et d'un premier segment, à mon avis, moins réussi ...



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