Attention, spoilers !

La plupart des critiques et des développements proposés dévoileront des indices et des informations qui pourraient fausser l'effêt de surprise et révèler les dessous et les résolutions des oeuvres citées ...

A bon entendeur ...


Que cela ne vous empêche pas de me visiter, de me lire et de me laisser vos remarques.

vendredi 19 octobre 2012

Remember Dario Argento 13 : Le Syndrôme de Stendhal

Si vous avez raté les épisodes précédents (le lien : Le Syndrôme de Stendhal)

Le Syndrôme de Stendhal c'est,

le choix de l'Art (sous toutes ses formes) comme base, vecteur et détail d'une nouvelle intrigue







 





















































































Le Syndrôme de Stendhal : cette affection consistant en une réceptivité quasi-maladive aux oeuvres d'art (qui aboutit ici à la sensation de pénétrer en elles ou d'en être très physiquement ébranlé ... !)
































































































Une jeune héroïne, femme flic, plongeant peu à peu dans la schizophrénie






















 










 

























































































































































Un criminel tueur et violeur en série avec lequel se noue un lien complexe et destructeur
































































































du sang et une violence plus séche et réaliste qu'à l'accoutumée
















































































































































le regard des statues






































































et  les regards des miroirs




























































un monde d'hommes

































































au sein duquel les femmes tentent de survivre










































































































ce sens toujours aussi aiguisé du décor, du cadrage et du détail





















































































































































et un final aussi prévisible et tragique qu'émouvant




























Dur, direct, et en même temps magnifique, ce film renouvelle le ton d'Argento, annonçant la ligne de plus en plus "brute" à venir, tout en célébrant plus que jamais les thèmes chers au réalisateur : l'art et la trivialité, la beauté et l'horreur ...
L'un des meilleurs films d'Asia et l'une des productions  majeure du cinéaste : un virage, un renouvellement,  un pas vers une autre façon d'épancher ses obsessions et de raconter ses histoires ...
Les 10 premières minutes sont magiques, la suite éprouvante autant que sensée ...
Une réussite !

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