Attention, spoilers !

La plupart des critiques et des développements proposés dévoileront des indices et des informations qui pourraient fausser l'effêt de surprise et révèler les dessous et les résolutions des oeuvres citées ...

A bon entendeur ...


Que cela ne vous empêche pas de me visiter, de me lire et de me laisser vos remarques.

lundi 1 octobre 2012

Remember Dario Argento 9 : Phenomena

Si vous avez raté les épisodes précédents (le lien  : Phenomena)

Phenomena c'est,
 
Une séquence inaugurale qui se termine evidemment par un meurtre











































































Une pension suisse pour jeunes filles de bonne famille























 

Jennifer Connely dans toute la splendeur  de son adolescence




 
















































 

Un vieil entomologiste cloué dans un fauteuil roulant




 



















 

Un Chimpanzé






















 












 












 

Des crimes et de l'effroi


 















 










 















































 

Des insectes








 






































































Des crises de somnambulisme et des pouvoirs "magiques"















































































Des femmes revèches, mauvaises, voire tarées, enièmes avatars des marâtres et des sorcières de contes




































Des demeures désaffectées et inquiétantes









































































































Des docteurs et des infirmières




























La nature et l'eau omniprésentes et toujours potentiellement liées au danger


















































































Des asticots, des charniers et des corps en putréfaction






















































Un monstre




































Phenomena  combine plus que jamais les obsessions et les inspirations de Dario Argento  :  le conte, l'horreur et l'imagerie giallesque s'unissent finalement, se  mariant ici  aux motifs animaliers,  aux thèmes de la sortie de l'enfance, de la différence et de la monstruosité ... Le résultat est forcément plus inabouti, parfois un peu bancal mais les idées étonnent toujours, l'imagerie reste riche et  plusieurs scènes superbes et mémorables viennent enrichir l'oeuvre passionnante du cinéaste  !
Finalement quelque peu déservie par la tonalité fantastique (qui fonctionnait pourtant totalement dans Suspiria, par exemple) la cruauté légendaire du maestro parait presque adoucie, à l'image de son héroïne somnambule ...
Un conte, pas tout à fait concluant, donc, ... à déconseiller aux enfants bien entendu !




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